© Christian Dupré Switzerland
Himalaya
Depuis trente ans, Christian Dupré parcourt la chaîne himalayenne en s’attachant à sa lumière. Photographe et guide de montagne, il en a tiré des milliers d’images. Des vues subjectives qui donnent aux vastes étendues des airs de paysages intérieurs. Ses photographies ne sont pas vouées à la reproduction du visible, elles suivent les traces d’un monde évanescent. Le travail du Gruérien est marqué par la question de la figuration: que nous disent ces massifs montagneux au-delà de la réalité sensible? Il en découle des images qui poussent parfois la dissemblance jusqu’à l’illisible. Là où commencent nos propres lectures. Les photographies de Christian Dupré invitent à saisir un éclat, des reflets. Le tirage sur papier népalais redouble cet effet. Le procédé révèle des mouvements et des caractères. Les œuvres s’imprègnent ainsi de reliefs où les montagnes entremêlent leurs crinières. L’Himalaya, la demeure des neiges, le toit du monde, ses glaciers, ses lacs et ses rivières, s’offrent alors comme un terrain de rêve. On y voit l’humain dans la pierre, la pierre dans le vent, le vent dans les cheveux qui nous revient en ricanant. Comme un mystère qui fait qu’on espère.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste
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Depuis trente ans, Christian Dupré parcourt la chaîne himalayenne en s’attachant à sa lumière. Photographe et guide de montagne, il en a tiré des milliers d’images. Des vues subjectives qui donnent aux vastes étendues des airs de paysages intérieurs. Ses photographies ne sont pas vouées à la reproduction du visible, elles suivent les traces d’un monde évanescent. Le travail du Gruérien est marqué par la question de la figuration: que nous disent ces massifs montagneux au-delà de la réalité sensible? Il en découle des images qui poussent parfois la dissemblance jusqu’à l’illisible. Là où commencent nos propres lectures. Les photographies de Christian Dupré invitent à saisir un éclat, des reflets. Le tirage sur papier népalais redouble cet effet. Le procédé révèle des mouvements et des caractères. Les œuvres s’imprègnent ainsi de reliefs où les montagnes entremêlent leurs crinières. L’Himalaya, la demeure des neiges, le toit du monde, ses glaciers, ses lacs et ses rivières, s’offrent alors comme un terrain de rêve. On y voit l’humain dans la pierre, la pierre dans le vent, le vent dans les cheveux qui nous revient en ricanant. Comme un mystère qui fait qu’on espère.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste
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Depuis trente ans, Christian Dupré parcourt la chaîne himalayenne en s’attachant à sa lumière. Photographe et guide de montagne, il en a tiré des milliers d’images. Des vues subjectives qui donnent aux vastes étendues des airs de paysages intérieurs. Ses photographies ne sont pas vouées à la reproduction du visible, elles suivent les traces d’un monde évanescent. Le travail du Gruérien est marqué par la question de la figuration: que nous disent ces massifs montagneux au-delà de la réalité sensible? Il en découle des images qui poussent parfois la dissemblance jusqu’à l’illisible. Là où commencent nos propres lectures. Les photographies de Christian Dupré invitent à saisir un éclat, des reflets. Le tirage sur papier népalais redouble cet effet. Le procédé révèle des mouvements et des caractères. Les œuvres s’imprègnent ainsi de reliefs où les montagnes entremêlent leurs crinières. L’Himalaya, la demeure des neiges, le toit du monde, ses glaciers, ses lacs et ses rivières, s’offrent alors comme un terrain de rêve. On y voit l’humain dans la pierre, la pierre dans le vent, le vent dans les cheveux qui nous revient en ricanant. Comme un mystère qui fait qu’on espère.
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Depuis trente ans, Christian Dupré parcourt la chaîne himalayenne en s’attachant à sa lumière. Photographe et guide de montagne, il en a tiré des milliers d’images. Des vues subjectives qui donnent aux vastes étendues des airs de paysages intérieurs. Ses photographies ne sont pas vouées à la reproduction du visible, elles suivent les traces d’un monde évanescent. Le travail du Gruérien est marqué par la question de la figuration: que nous disent ces massifs montagneux au-delà de la réalité sensible? Il en découle des images qui poussent parfois la dissemblance jusqu’à l’illisible. Là où commencent nos propres lectures. Les photographies de Christian Dupré invitent à saisir un éclat, des reflets. Le tirage sur papier népalais redouble cet effet. Le procédé révèle des mouvements et des caractères. Les œuvres s’imprègnent ainsi de reliefs où les montagnes entremêlent leurs crinières. L’Himalaya, la demeure des neiges, le toit du monde, ses glaciers, ses lacs et ses rivières, s’offrent alors comme un terrain de rêve. On y voit l’humain dans la pierre, la pierre dans le vent, le vent dans les cheveux qui nous revient en ricanant. Comme un mystère qui fait qu’on espère.
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Depuis trente ans, Christian Dupré parcourt la chaîne himalayenne en s’attachant à sa lumière. Photographe et guide de montagne, il en a tiré des milliers d’images. Des vues subjectives qui donnent aux vastes étendues des airs de paysages intérieurs. Ses photographies ne sont pas vouées à la reproduction du visible, elles suivent les traces d’un monde évanescent. Le travail du Gruérien est marqué par la question de la figuration: que nous disent ces massifs montagneux au-delà de la réalité sensible? Il en découle des images qui poussent parfois la dissemblance jusqu’à l’illisible. Là où commencent nos propres lectures. Les photographies de Christian Dupré invitent à saisir un éclat, des reflets. Le tirage sur papier népalais redouble cet effet. Le procédé révèle des mouvements et des caractères. Les œuvres s’imprègnent ainsi de reliefs où les montagnes entremêlent leurs crinières. L’Himalaya, la demeure des neiges, le toit du monde, ses glaciers, ses lacs et ses rivières, s’offrent alors comme un terrain de rêve. On y voit l’humain dans la pierre, la pierre dans le vent, le vent dans les cheveux qui nous revient en ricanant. Comme un mystère qui fait qu’on espère.
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Depuis trente ans, Christian Dupré parcourt la chaîne himalayenne en s’attachant à sa lumière. Photographe et guide de montagne, il en a tiré des milliers d’images. Des vues subjectives qui donnent aux vastes étendues des airs de paysages intérieurs. Ses photographies ne sont pas vouées à la reproduction du visible, elles suivent les traces d’un monde évanescent. Le travail du Gruérien est marqué par la question de la figuration: que nous disent ces massifs montagneux au-delà de la réalité sensible? Il en découle des images qui poussent parfois la dissemblance jusqu’à l’illisible. Là où commencent nos propres lectures. Les photographies de Christian Dupré invitent à saisir un éclat, des reflets. Le tirage sur papier népalais redouble cet effet. Le procédé révèle des mouvements et des caractères. Les œuvres s’imprègnent ainsi de reliefs où les montagnes entremêlent leurs crinières. L’Himalaya, la demeure des neiges, le toit du monde, ses glaciers, ses lacs et ses rivières, s’offrent alors comme un terrain de rêve. On y voit l’humain dans la pierre, la pierre dans le vent, le vent dans les cheveux qui nous revient en ricanant. Comme un mystère qui fait qu’on espère.
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